On a cassé la
tirelire mais qu’est ce qu’on a bien fait !
Mardi 10 octobre 2017 - île Baltra –
île Santa Cruz
Et nous voilà de retour à l’aéroport, destination les
Galapagos : quel panard ! C’est parti pour 2h de vol,
arrivée sur l’île de Baltra. Et croyez moi ou non mais la
première chose qu’on voit en sortant de l’avion, c’est un gros
iguane à seulement 1 m de nous et visiblement tout le monde a l’air
de trouver cela parfaitement normal !!! Ça commence très fort.
Une navette nous emmène à un embarcadère pour rejoindre l’île
Santa Cruz. Au-dessus de nos têtes volent des frégates magnifiques
(visiblement le goéland du coin !). C’est quoi ce gros machin
qui vole près du port ? ! Ben oui un pélican énorme !
J’adore ce pays !
Pour rejoindre Puerto Ayora, notre destination pour ce soir, nous prenons un bus (rassurez-vous il y a de la place!). Et c’est parti pour une traversée complète de l’île. Le paysage est aride avec une route de terre ocre durant le premier quart d’heure puis nous passons en milieu plus tropical, palmier, verdure … et tortues géantes des galapagos ……….. Trop le bonheur !
Le bus nous dépose sur le port et nous attendons Véronica, une amie de Marco, qui vit ici depuis quelques mois. Elle arrive à vélo (en fait on aurait du amener nos pinos car ici c’est le paradis pour pédaler) et nous réserve un accueil super chaleureux (un immense merci à toi Véronica) ! Nous laissons nos bagages chez elle pour aller chercher un hôtel ! On en fera plein avant d’en trouver un abordable !!! L'hospedaje "Fragata" (on le recommande chaudement ! ).
Pour rejoindre Puerto Ayora, notre destination pour ce soir, nous prenons un bus (rassurez-vous il y a de la place!). Et c’est parti pour une traversée complète de l’île. Le paysage est aride avec une route de terre ocre durant le premier quart d’heure puis nous passons en milieu plus tropical, palmier, verdure … et tortues géantes des galapagos ……….. Trop le bonheur !
Le bus nous dépose sur le port et nous attendons Véronica, une amie de Marco, qui vit ici depuis quelques mois. Elle arrive à vélo (en fait on aurait du amener nos pinos car ici c’est le paradis pour pédaler) et nous réserve un accueil super chaleureux (un immense merci à toi Véronica) ! Nous laissons nos bagages chez elle pour aller chercher un hôtel ! On en fera plein avant d’en trouver un abordable !!! L'hospedaje "Fragata" (on le recommande chaudement ! ).
Nous partons à l’assaut de la ville dans la pénombre. Le port
dispose d’une long ponton avec des lumières qui éclairent l’eau
et là c’est un festival ! Autour du ponton, des requins à
pointe noire viennent chasser, une immense raie vient pointer son nez
à la surface et je ne vous parle pas des pélicans qui se posent
juste à côté de nous !!! C’est trop pour nos petits yeux ! Vivement demain !
Bahia Tortuga
Après un copieux déjeuner à l’hôtel (œufs, tartines grillées,
jus de mûres fraîches, fruits et fromage), nous voilà bien armés
pour partir se promener sur une magnifique plage proche de la ville
et tenter d’apercevoir la faune locale !
Nous suivons un sentier bordé d’immense cactus avant de déboucher sur une magnifique plage de sable blanc. Ici et là, quelques rochers volcaniques colorent la plage de points noirs sur lesquels se camouflent des iguanes et des crabes rouges (ceux-là, ils ont du mal à se camoufler!).
La plage s'étire sur quelques km, au-dessus de nos têtes, c’est un ballet de pélicans qui planent façon bombardier. Au loin, on aperçoit d’étranges petites roches volcaniques noirs qui semblent se déplacer… et ben non ! Ce sont des iguanes entassés les uns sur les autres, il y en a partout, le rêve !
Nous arrivons à un lagon protégé du vent et nous tombons nez-à-nez avec une otarie qui roupille telle une bienheureuse sur la plage. Notre présence ne semble pas du tout la déranger ! Quel bonheur, la plage est paradisiaque. Waouh, c’est difficile de vous transmettre le sentiment de jubilation que nous ressentons mais waouh !!!! Au retour, nous recroisons nos chers iguanes qui partent en mer certainement pour manger (Allez jeter un coup d’œil sur la page des enfants, on a mis des vidéos!).
Retour à Puerto Ayora avec un sourire jusque-là. Nous parcourons le port pour nous rendre au centre Darwin, on peut y observer des tortues géantes des Galapagos et une nurserie de tortues qui sert à réintroduire ces tortues sur les îles où elles ont disparues. La météo s’améliore et nous pouvons profiter pleinement de la beauté des lieux et de l’océan . En chemin (et en ville), toujours nos copains les iguanes, il y a des bébés maintenant !
De retour en ville, il nous faut trouver nos billets pour changer d’île, direction l’île Isabella demain. Pas de pb pour en trouver, tous les tours-opérateurs en vendent ! Puis nous retournons sur la jetée du port dans l’espoir d’apercevoir de nouveaux requins et raies. Et c’est avec surprise que nous découvrons une énorme otarie avachie sur un banc qui roupille (apparemment c’est leur activité favorite). Les allers et venues des gens ne la perturbent absolument pas, elle ne bouge pas d’un poil !
Nous suivons un sentier bordé d’immense cactus avant de déboucher sur une magnifique plage de sable blanc. Ici et là, quelques rochers volcaniques colorent la plage de points noirs sur lesquels se camouflent des iguanes et des crabes rouges (ceux-là, ils ont du mal à se camoufler!).
La plage s'étire sur quelques km, au-dessus de nos têtes, c’est un ballet de pélicans qui planent façon bombardier. Au loin, on aperçoit d’étranges petites roches volcaniques noirs qui semblent se déplacer… et ben non ! Ce sont des iguanes entassés les uns sur les autres, il y en a partout, le rêve !
Nous arrivons à un lagon protégé du vent et nous tombons nez-à-nez avec une otarie qui roupille telle une bienheureuse sur la plage. Notre présence ne semble pas du tout la déranger ! Quel bonheur, la plage est paradisiaque. Waouh, c’est difficile de vous transmettre le sentiment de jubilation que nous ressentons mais waouh !!!! Au retour, nous recroisons nos chers iguanes qui partent en mer certainement pour manger (Allez jeter un coup d’œil sur la page des enfants, on a mis des vidéos!).
Retour à Puerto Ayora avec un sourire jusque-là. Nous parcourons le port pour nous rendre au centre Darwin, on peut y observer des tortues géantes des Galapagos et une nurserie de tortues qui sert à réintroduire ces tortues sur les îles où elles ont disparues. La météo s’améliore et nous pouvons profiter pleinement de la beauté des lieux et de l’océan . En chemin (et en ville), toujours nos copains les iguanes, il y a des bébés maintenant !
Une bijouterie ! :
Une vahinée ! :
De retour en ville, il nous faut trouver nos billets pour changer d’île, direction l’île Isabella demain. Pas de pb pour en trouver, tous les tours-opérateurs en vendent ! Puis nous retournons sur la jetée du port dans l’espoir d’apercevoir de nouveaux requins et raies. Et c’est avec surprise que nous découvrons une énorme otarie avachie sur un banc qui roupille (apparemment c’est leur activité favorite). Les allers et venues des gens ne la perturbent absolument pas, elle ne bouge pas d’un poil !
Ce soir, repas dans une rue animée de Puerto Ayora qui est fermée à
la circulation. Les tables sont installées directement dans la rue
et chaque restaurant propose son menu par l’intermédiaire d’un
personne chargée de nous dérouler le menu le plus rapidement
possible. On ne comprend rien mais on voit bien les langoustes et autres
poissons énormes sur l’étal ou en train de cuire en papillote sur
le barbecue ! Finalement, on se laissera tenter par du poulpe !
Les enfants n’en peuvent plus, ils dorment à table ! Alors
Buenas Noches !
De
plus en plus fort !
Isla Isabela
Levés de très bonne heure, nous filons au port rejoindre notre embarcation. Veronica nous a prévenu, la mer est agitée en cette saison. Nous embarquons dans un premier bateau-taxi qui nous emmène sur notre « petit » bateau, gloups ! Nous nous entassons dans le bateau et c’est parti pour 2h15. Effectivement ça secoue, mais la vue est extraordinaire ! (Je vous passe les détails de « ce qui devait arriver, arriva! »). L’arrivée sur l’île Isabella est un soulagement et surtout un enchantement ! Avant même d’avoir posé le pied à terre, une jolie tortue marine vient nous saluer. Puis c’est au tour des otaries de faire leur show dans les eaux turquoises du débarcadère. Nous avons les yeux qui nous sortent de la tête. L’île est paradisiaque !!! Re-re-re gros bonheur !
Levés de très bonne heure, nous filons au port rejoindre notre embarcation. Veronica nous a prévenu, la mer est agitée en cette saison. Nous embarquons dans un premier bateau-taxi qui nous emmène sur notre « petit » bateau, gloups ! Nous nous entassons dans le bateau et c’est parti pour 2h15. Effectivement ça secoue, mais la vue est extraordinaire ! (Je vous passe les détails de « ce qui devait arriver, arriva! »). L’arrivée sur l’île Isabella est un soulagement et surtout un enchantement ! Avant même d’avoir posé le pied à terre, une jolie tortue marine vient nous saluer. Puis c’est au tour des otaries de faire leur show dans les eaux turquoises du débarcadère. Nous avons les yeux qui nous sortent de la tête. L’île est paradisiaque !!! Re-re-re gros bonheur !
Et le spectacle continu car c’est en fait une île peuplée d’otaries avec quelques humains de passage ;-) ! Il y en a de partout, sur la plage, la route, les bancs, les passerelles en bois… Et bien sûr, il y a toujours nos copains les iguanes, les pélicans et de nouveaux venus : les fous à pied bleu !
On se sent merveilleusement bien dans cette petite ville portuaire. Les routes sont en sable, l’atmosphère est archi-détendue, les gens souriants et accueillants ! Bref on est immédiatement dans l’ambiance. Vite on remplace nos chaussures de rando par nos tongs, on saute dans nos maillots de bain et en route pour la « Concha Perla », petit lagon paradisiaque ! Hop, nous enjambons nos copines les otaries vautrées sur la passerelle, nous nous attendrissons sur un tout petit bébé otarie et nous voilà dans l’eau (un peu fraîche quand même!). Bon, j’avoue que je ne suis pas restée longtemps mais j’ai quand même eu le temps de voir un poisson perroquet, un diodon (celui qui se gonfle avec des piquants!) et Madame la Tortue ! Les garçons, de leur côté, auront l’immense chance de nager avec un iguane et une otarie très curieuse qui finira par jouer avec un morceau de bois sous l’eau ! Quel paradis ici, c’est décidé on s’installe ici (et les enfants sont d’accord!).
Un bébé otarie !!!
Nous partons ensuite nous promener en retrait de la ville. Nous empruntons une passerelle qui surplombe une lagune et nous tombons sur nos premiers flamants roses, bien roses ! Le chemin nous fait traverser une mangrove et nous débouchons sur un centre de sauvegarde des tortues géantes terrestres. On en voit quelques unes dans leur enclos. Bon, on vous avoue qu’on préférerait en voir des sauvages !!!
Le soir l’ambiance est toujours aussi décontractée et on se dégotte un resto avec que des gens du coin pour déguster le menu local « Merienda » composé d’une soupe et d’un plat à base de poissons, de riz et de pois. Au programme de demain, snorkeling avec les tortues de mer !
Las Tintoreras
Levés de bon matin pour un petit déjeuner sur la terrasse puis le taxi bus vient nous chercher à la porte de l’hôtel ! (Heu
c’est pas dans un machin comme celui-là que le lonely planet nous
avertissait de ne jamais monter!). Nous récupérons d’autres
personnes au passage et filons vers notre embarcation. Notre guide
s’appelle Sebastian. Après un tour en bateau autour des îlots où
nous observons foultitude d’iguanes et quelques tortues de mer
nageant dans une eau turquoise, nous débarquons sur une île
volcanique. Iguanes en pagaille mais le petit plus ce sont les
explications de Sebastian. On comprend maintenant que leur
éternuement avec giclées (sinon c'est moins drôle) correspond en fait à l’évacuation
du sel contenu dans l’eau de mer afin d’obtenir une eau moins
salée pour l’absorber !! ! Sélection naturelle quand tu
nous tiens ;-)
Notre équipée pour la sortie ! (Merci Bart pour la photo !)
Un crâne d'otarie :
Puis nous découvrons un lagon bordé d’une petite crevasse dans
laquelle se reposent d’énormes requins !!! Heu c’est pas là
qu’on se baigne hein ?!
On embarque de nouveau pour aller nager cette fois-ci. La mise à l’eau est un peu compliquée. Greg part dans un premier temps avec Fanch ravi de l’expérience ! Je reste avec Lylwenn qui est équipée d’une bouée de sauvetage (la vraie orange!) et je la tracte dans l’eau. Ma nénette n’arrive pas à regarder dans l’eau avec son masque (beaucoup trop grand!) alors nous suivons les tortues (il y en a en pagaille!) depuis la surface. Enfin moi, je n’en perds pas une miette sous l’eau. Inoubliable. Et mangue sur le gâteau, nous sommes rattrapées par un iguane qui ondule à côté de nous ! Mais il faut déjà rentrer, les garçons en ont pris plein les yeux. Wahou, quelle matinée !
Après un casse-croûte mérité sur la plage (sable blanc, otaries, iguanes et cocotiers!!!), notre excursion de l’après-midi est dédiée à la recherche des tortues terrestres géantes. Il paraît qu’il y en a à l’ouest de l’île. Nous marchons dans un premier temps en bordure de la plage puis progressivement nous changeons de paysage. Plus sec avec de nouveaux d’immenses cactus. Des lagunes s’étalent ça et là. Le sentier prend une teinte rouge ocre. Après plus d’une heure de recherche et le soleil qui décline, nous sommes sur le point de faire demi-tour quant au détour du chemin, elle est là la géante, immobile. Elle nous regarde (si si!). Une deuxième plus petite un peu plus loin. Quel animal à la fois étrange et impressionnant. Nous repartons tout contents de cette journée inoubliable. Nous sommes tous tombés amoureux de cette île !
Petites boulettes de sable réalisées par un crabe !!! :
Retour
à Santa-Cruz
Après une ultime plongée pour les garçons à la Concha Perla,
c’est déjà l’heure de reprendre le bateau pour Santa Cruz. Nous
patientions sur la plage avant d’embarquer. Un mâle otarie ne
cesse de crier (enfin ça ressemble plutôt à un espèce de
gloussement!) et poursuit sans relâche des femelles (ça vous
rappelle pas quelqu’un les filles?!). Nous assistons aussi au
débarquement de conteneurs maritimes sur la plage. La manip
nécessite pas moins de 2 camions grue et au bout de quarante
minutes, ils n’ont toujours pas descendu le premier ! On
comprend maintenant pourquoi les produits importés sont à un prix
exorbitant !
Par sécurité, les enfants ont eu droit à une « pastilla »
contre le mal de mer ! Heureusement car la traversée est
toujours aussi éprouvante ce qui nous amène à revoir notre plan
pour la suite. Nous renonçons à visite l’île San Cristobal car
il faut encore faire plus de 2h de bateau et aucun d’entre nous
n’en a envie. Nous irons plutôt explorer l’intérieur de l’île
de Santa Cruz.
Santa
Cruz – Réserve El Chato
Aujourd’hui nous partons visiter la réserve « El Chato »
où l’on peut observer des tortues géantes terrestres.
Habituellement, les touristes prennent un taxi privé qui les emmène
sur place, patiente durant la visite et les ramène ensuite. Trop
cher pour notre bourse ! Nous décidons de faire comme les
locaux, prendre le bus ! On nous indique l’arrêt de bus et
nous patientons sagement. Des taxis nous interpellent mais nous
déclinons leur offre. Nos voisins qui attendent aussi nous demandent
où l’on va. Eux aussi vont à Santa Rosa. Ils nous expliquent
qu’il n’y aura pas de bus avant … (là on a pas trop compris!)
et qu’il faut prendre une camionnette ! Deux autres dames
arrivent et hèlent un vieux pick-up, nos deux voisins se lèvent et
nous interpellent également… heu ça va pas rentrer là ?! Si
si le chauffeur est confiant, nous moins ! Nous voilà entassés
à neuf personnes dans un véhicule conçu pour en accueillir 5 ce
qui signifie 3 devant, et 6 derrière. Nous avons les enfants sur nos
genoux et notre voisin lui à sa femme ! Heureusement le trajet est
relativement court !
Enfin déposés à Santa Rosa, il nous faut maintenant marcher
jusqu’à la réserve. Le sentier est de nouveau de couleur rouge
ocre et bordé de bananiers, orangers et autres arbres à fruits non
identifiés. Mais le plus important c’est surtout qu’il y a des
tortues partout ! Enormes !
Nous arrivons devant un panneau qui nous indique l’entrée d’une grotte. Il s’agit en réalité d’un tunnel de lave « Lava Tunnel » (trop fastoche l’espagnol!). On y a va équipé de nos frontales !
Il y a quelques passages « délicats » ! Fanch, toujours aussi pragmatique, nous demande si le plafond tient bien ! Ben oui voyons (on espère mais ça on lui a pas dit !). Le tunnel fait environs 500 m avant de déboucher sur une autre sortie !
Et toujours une tortue à traîner par ci par là.
Nous poursuivons notre marche pour atterrir à l’entrée d’un
ranch où l’ont peut observer (après avoir payé le prix d’entrée)
… des tortues !!! Ben là, on vient d’en croiser au moins
une cinquantaine ! Par contre, le parking est plein de taxis et
bus de touristes ! Nous rebroussons chemin.
Il nous faut reprendre un taxi pour rentrer et cette fois c’est un bus qui s’arrête !
De retour à Puerto Ayora, nous décidons de prendre un bateau-taxi pour aller découvrir un endroit appelé « Las Grietas ». Il s’agit d’une crevasse remplie d’eau où l’on peut se baigner. Nous accostons sur le ponton d’un restaurant de luxe et nous traversons toute une zone remplie d’hôtels archi-luxueux avant de déboucher sur une magnifique plage de sable blanc ! Puis un sentier nous conduit en bordure d’une saline ! Les sacs de sel s’entassent sur le côté en attendant d’être transportés « à la mano » jusqu’au port. Nous grimpons un peu pour déboucher sur la fameuse crevasse. L’eau est magnifique et des gros poissons évoluent tranquillement !
De retour au port, on retrouve avec plaisir notre copine l’otarie et notre pote le pélican ainsi que nos « moins » copains les requins !
Ile Baltra - avant dernier jour (snif !)
C’est déjà l’avant dernier jour ! Pour cette journée,
nous avons décidé de partir visiter l’île Baltra, celle où se
trouve l’aéroport. Il faut retraverser en navette le canal
d’Itabaca et essayer de trouver un plage le long de l’île. Il
semblerait qu’on puisse observer de nombreux oiseaux marins.
Après avoir cherché un moment un bus pour y aller, force est de
constater que le seul moyen pour s’y rendre est le taxi pick-up.
Qu’à cela ne tienne, nous sommes déjà abordés par un
chauffeur !
En route pour Baltra ! Nous avons convenu avec le chauffeur
qu’il revienne nous chercher en fin d’après midi.
Nous traversons avec tous les autres passagers qui eux s’en vont
prendre l’avion et depuis l’embarcadère nous commençons à
marcher sous un bon cagnard ! Les bus qui vont à l’aéroport
nous double en nous faisant signe de la main. Il ne doit pas y avoir
très souvent des gens à se balader dans le coin. En chemin, nous
croisons notre 1er iguane terrestre ! Chouette ça
commence bien. On cherche un chemin qui devrait se rendre à un
plage mais rien ! Tant pis, on part à l’aventure sans chemin
à travers cactus et arbres piquants. C’est bizarre le sol rouge
ocre dépourvu de végétation est super mou, on dirait qu’on
marche sur du sable ! Puis c’est une alternance de roche
volcanique et de terre rouge ! Tant bien que mal nous arrivons
sur la berge mais aucune plage en vue ! Il commence à faire
vraiment très chaud, nous nous abritons sous un tout petit arbre
pour pique-niquer.
Il faut se rendre à l’évidence : impossible de trouver une
plage dans ce coin et impossible de se mettre à l’eau à partir de
la berge. Nous décidons de rebrousser chemin et de tenter de
trouver une embarcation depuis l’embarcadère de l’autre côté !
En chemin, nous croisons un bus vide qui se rend à l’aéroport et
le chauffeur nous indique que c’est le dernier aller-retour qu’il
fait et il n’y aura plus de bateau pour traverser après !
Zut, on fonce à l’embarcadère !!! (Toujours sous le
cagnard!) Imaginez nos pauvres gosses rouge écarlate qui en plus
doivent courir sous le soleil ! Quand on arrive, la dernière
navette est en train de quitter le quai ! Gloups, le militaire
en charge de gérer le débarcadère le somme de revenir !
Re-gloups, je vous dis pas la tête que faisait le capitaine !
On se fait tout petit.
Arrivés de l’autre côté, nous tentons désespérément de
trouver un bateau pour aller faire une promenade mais chou blanc !
Il est 14h30, nous n’avons aucune option pour aller se balader et
notre taxi n’est prévu qu’à 17h ! Re-re-re-gloups !
Bon, j’appelle le chauffeur (hé hé on avait pris son n°, futée
la bête!) avec mon espagnol approximatif et … répondeur ! Je
laisse un message plus qu’approximatif … une fois … deux fois …
et rien ! Nous voyons les bus qui s’en vont vers Puerto Ayora,
il faut prendre une décision rapidement car on risque de se
retrouver coincés ici pendant des heures ! Nous sautons donc
dans le dernier bus ! J’envoie un message au taxi en espérant
qu’il le recevra !
De retour à Puerto Ayora, nous nous séparons en 2 groupes :
les filles d’un côté et les garçons de l’autre ! Nous,
les filles, nous partons nous promener dans une lagune avec une
mangrove tandis que les garçons partent louer du matériel de
snorkeling pour aller plonger à « Las Grietas ».
Dernier jour – île Baltra
Nous quittons le cœur serré notre hôtel et Veronica nous rejoint
pour nous dire au-revoir ! On est vraiment triste de partir et
surtout les enfants ! Ils ont vraiment adoré leur séjour ici,
c’est incroyable comme on se sent bien sur ces îles, l’ambiance
est tellement détendue ! On reviendra, c’est sûr !
Nous attrapons un taxi pour nous rendre au terminal de bus et monter
dans une navette. Arrivés à l’aéroport, nous enregistrons nos
bagages et partons de nouveau à la recherche de cette fameuse plage.
Après plusieurs essais infructueux (on nous dit que c’est
impossible d’y aller car c’est un terrain militaire !), nous
sautons dans un bus qui amène des touristes à un quai pour les
croisières. Nous laissons le groupe pour courir sur une superbe
plage de sable blanc avec une eau turquoise, wahou on se croirait à
Tahiti avec otaries, fous à pieds bleux (Piqueros patas azules!),
frégates, pélicans ! Bref le grand bonheur !
Il est déjà tant de partir mais une chose est sûre, nous
reviendrons !
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